L’interview de la semaine, en compagnie de Eric Deflandre
L’équipe a terminé l’année sur une victoire importante face à la RAAL. De bon augure ?
Oui, nous avions à cœur de bien terminer l’année ! Nous avons affronté une bonne équipe et nous avons fait le match parfait tant offensivement que défensivement. Cette victoire nous a permis de souffler pendant les vacances, même si nous savons que le plus dur reste à faire. En effet, nous commençons par deux déplacements, à Winkel et Hoogstraten. Il s’agira de bien les négocier pour débuter correctement cette deuxième partie de saison.
L’équipe va devoir se passer pendant plusieurs mois de son remplaçant de luxe Florian Gendebien. Comment allez-vous gérer cela ?
Florian est un élément très important du groupe. Il était devenu, en effet, notre joker en étant pratiquement chaque fois décisif lors de ses montées au jeu. Par conséquent, devoir nous passer de lui durant cette longue période est très dommage. Heureusement, nous allons récupérer Maxime Cavelier qui va nous apporter pas mal d’options supplémentaires. Nous allons donc essayer de gérer cela au mieux.
Que pensez-vous du retour des Johan 1892 en temps que club de supporters officiel ?
C’est très bien ! Ce sont des supporters qui ont toujours été présents autour du club. C’est donc très important qu’ils continuent à pousser l’équipe dans le futur.
À la mi-saison, l’équipe est bien positionnée dans la lutte pour la montée. Comment allez-vous préparer vos joueurs pour la deuxième partie de championnat ?
De la même manière que ce que nous avons fait jusqu’à présent. On doit veiller à mettre les joueurs dans les meilleures conditions physiques et mentales et cela dans une très bonne ambiance. Ce qui fait la force d’un groupe est de créer une solidarité entre tous les joueurs pour qu’ils se battent les uns pour les autres.
Cela passe par un contexte de travail où on privilégie à la fois la bonne humeur mais également le travail avec beaucoup de hargne. C’est ce que l’on peut voir lors des petits matchs d’entraînement où ils râlent dès qu’ils sont battus ! Cela prouve qu’ils ont l’envie et qu’ils ont soif de victoire. C’est sur ces bases qu’il faudra avancer pour la suite.